• Pleasantville

    pleasantville
     
     
    David, un adolescent, aime regarder le feuilleton Pleasantville, qui se déroule en noir et blanc durant les années 1950. Sa sœur Jennifer n'aimant pas la série se chamaille souvent avec lui pour la posséssion de la télécommande, Jusqu'à ce que, par un étrange phénomène, Jennifer et David se retrouvent parachutés à "Pleasantville" en noir et blanc, dans la peau de deux des personnages, Bud et Mary-Sue Parker.

    Le film a, en premier lieu, été tourné en couleurs, puis retravaillé numériquement pour les scènes en noir et blanc.

    Dernier film de J.T. Walsh qui mourut 8 mois avant la sortie du film.

    Réalisé par Gary Ross
    Avec Tobey Maguire, Reese Witherspoon, William H. Macy, Jeff Daniels, Joan Allen
    Film américain
    Genre : Fantastique
    Musique : Randy Newman
    Durée : 1h55
    Année de Production : 1998

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  • Commentaires

    1
    FRANCOISGD
    Vendredi 25 Novembre 2011 à 15:33
    Vous avez bien fait de le mettre sur Kazeo, je l'avais vu sur votre autre blog et j'avais noté de le voir puis oublié. Je préfère le voir sur le ciné d' HUBBY car on arrive tout de suite sur Megavideo. Ici on doit passer par KAZEO comme ceci : http://hubbardtyler.kazeo.com/external/http://www.megavideo.com/?v=HPVQ8GDA, ce qui freine la diffusion sauf si on prend la précaution de copier le seul lien intéressant : http://www.megavideo.com/?v=HPVQ8GDA qui permet en plus d'utiliser un débrideur. J'ai commencé à le visionner, il me semble beaucoup plus intéressant que la présentation le laisse supposer.
    2
    FRANCOISGD
    Vendredi 25 Novembre 2011 à 21:46
    Ce conte est une remarquable satire de l'American way of life, du sexisme, du machisme, des discriminations, de l'intolérance, etc. Avec la couleur, la peinture, l'amour, le sexe, le rock, etc. comme symboles de liberté. Finalement c'est le vieux mythe hippie qui a inspiré ce film. Mais, il y a encore du travail à faire dans ce monde pour que les critiques et les satires puissent créer une société idéale. Trop vaste programme pour ce pauvre homo sapiens qui n'est pas très malin de se créer des limites où il s'emprisonne tout seul.
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